Il faisait froid, le vent souflait dehors, une pluie glacial martelait tous ce qui avait l'imprudence de mettre le nez hors de leur chateau ou de leur chaumière. Un seigneur lui osait sortir, Sir Kram d'Arkants, ce sorcier si peut connu et pourtant si vieux déjà...cela fesait maintenant 317 jours que ce seigneur vagabondait en Agueraton, il avait connue les plus grandes guerres, les plus grandes guildes, tel que les mécène de l'obscur ou encore les ailes célestes. Une guilde c'était dréssée il y a de cela que tres peu de lune, un empire, on disait de cet empreur qu'il était tous puissant, qu'il voyait tous et savait tous; qui aurai pu croire cela, personne bien entendue. Mais son cercle d'adeptes grandissait de jour en jour, même les seigneurs les plus rétissant a son pouvoir en avait peur.
Après être passé par la main sanglante et les ames perdues qu'il pleurait encore Sir Kram d'Arkants se rendit compte que l'empire était pour lui une meilleur solution a ses désirs; respect, confiance, obéîssance était pour lui les principals force d'une guilde. Ho ! biensur la puissance des membres a une importance, mais ces valeur ne le sont elles pas plus ?
Sir Kram avait de nombreux allier, essentiellement des membres des alliances qu'il a cotoyé avec lesquelles il était resté en tres bon therme, dire qu'il avait des énemis était une blague, qui n'a pas d'énemis dans un monde ou la guerre faisait rage, ou les pillage était de plus en plus nombreux ?
Sir Kram d'Arkants entra dans le bureau qui servait au recrutement des futures serviteurs de la tribut, il saprocha d'une table:
- bonsoir a tous les seigneurs ici présent et plus particulièrement aux membres de la Tributs d'Orient, il éssora un peu sa cape, je vien vous voir en ce lieu afin de vous proposer mon adésion, je sais qu'il vous faut du temps pour débatre afin qu'une réponse claire et précise soit anoncée.En attendant une réponse je retourne dans mon royaume, si vous avez besoin de moi vous savez ou me joindre.Au plaisir de vous revoir, le seigneur laissa un morceau de parchemin a l'attention de sir Samouraï qu'il ne connaissait que de réputation afin qu'il ai la composition de son armée, et partis.